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Illustration réalisée pour article de Sandrine Warsztacki dans le magazine Alter Échos n°416, à lire ici.

À Bruxelles et en Wallonie, des structures à vocation commerciale proposent des services d’hébergement à des personnes particulièrement fragilisées. Si toutes ces initiatives ne sont pas à fourrer dans le même panier, les risques de dérive sont réels. Mais ces maisons sont aussi les seules à accepter un public qui ne trouve refuge nulle part ailleurs. Et à proposer un endroit où se poser à un public qui n’est plus en mesure de s’activer. Le monde associatif et politique est divisé: faut-il les réglementer ou les fermer?

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